"O la race maudite. Dans les chambres souillées, quand de chacun la destinée est achevée, la mort aux pas pourrissants pénètre dans la demeure. O, dehors, ce serait le printemps et l'oiseau chantant, gracieux dans l'arbre en fleurs. Mais la maigre verdure se calcine, grisâtre aux croisées des nocturnes et les coeurs en sang trament encore le mal."
GEORG TRAKL - Rêve et nuit de l'esprit
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